Au lieu de répondre à jardine et ris dans le commentaires je fais un petit post:
Mon rosiériste préféré, celui chez qui je trouve mes petites merveilles que j'installe depuis environ 5 années dans mon jardin, ET LE GAGNANT EST:
LES ROSES ANCIENNES DU JARDIN DE TALOS
Le nom de ce jeune homme, fort charmant est Yan Surguet.
Il adore les roses et vous en parle avec passion, je ne vous en dis pas plus, allez plustôt sur son site pour voir toutes les divers rosiers qu'il propose, certains fort rares et je suis certaine qu'ils vous feront craquer.
Et je vous annonce en même temps qu'il sera à
Montpellier au Salon PRIMAVERA
le 30 Mars 2014
organisé dans le
Jardin des plantes de l'Université de Montpellier.
Nous avons la chances que Yan vienne exposer ses petites merveilles pour nous, allez sur son site et vous verrez, mais au réel ses rosiers sont beaux aussi. Il vous les vend dans des gros contenants, du coup même si vous ne pouvez pas les planter tout de suite les plantes ont de quoi subsister quelques temps.
Le prix est abordable, surtout pour des produits de cette qualité, et ils sont BIO, sans rien d'ajouté et je dois avouer que pour mon jardin sauvage ils sont l'idéal.
Autre occasion pour ne pas le rater est le lieu d'exposition de ce printemps : le jardin des plantes de l'Université de Montpellier.
C'est un, sinon LE, Jardin des plantes le plus ancien encore actif de France. Si vous ne le connaissez pas profitez de cette journée pour aller le découvrir. Il a fait une toilette de printemps lui aussi ces dernières années et il vaut vraiment une visite pour des fans de plantes comme nous.
Il y a un ginkgo biloba de folie (planté en 1795 !!!!!!! svp) et une orangerie (j'espère qu'elle sera ouverte à la visite).
Je me souviens d'une visite avec ma pousse féminine dans leur jardin de simples, un vrai régal.
Il appartient à l'Université des Sciences et a été fondé en 1593 et il sert toujours pour les études en botanique.
J'avais découvert cet endroit pendant mes fort lointaines années d'étudiante et j'y retourne avec plaisir.
mardi 25 février 2014
lundi 24 février 2014
O sole mio
Toute la semaine j'ai travaillée dans le jardin, sous le soleil, afin de le rendre plus beau pour le printemps, et surtout cela m'a permis de regarder plus prés mes petites fleures qui arrivent. Pas aussi en avance que chez certaines de mes copines blogueuses, mais le midi méditerranéen n'est pas toujours aussi chaud que le nord veut bien le croire.
Je suis ravie tout de même de ce que j'ai vu ces derniers jours, depuis vendredi après-midi surtout. Comme quoi quelques rayons de soleil font une grande différence.
Une de mes petites primevères
Les petites pousses de tomates
La serre est en gros progrès, tout a démarré, mes semis de tomate aussi, les "noires de Crimée" surtout et un mélange que j'ai reçu de mon catalogue de graines favori, on verra lesquelles sortiront.
Mais ce sont les soucis qui galopent le plus vite, il va vraiment falloir prendre une heure pour les transplanter dans des poquets. Le premier essai a été fructueux puisqu'il y a n'a qu'un qui est mort. Donc on va continuer. Ça stoppe deux ou trois jours leur développement, mais c'est nécessaire.
Mes soucis
Au jardin proprement dit j'ai nettoyé, et enfin déplacé les sauges qui vont faire la bordure des plates-bandes qui sont au niveau de notre "parking".
Et puis j'ai attaquée mon massif d'énervement, j'y ai planté deux rosiers, achetés cet automne à St Jean du Gard. Mon fournisseur de roses est un jeune fou de roses qui n'a que des roses qui sortent de l'ordinaire.
En effet, après des années a m'être servie chez les grand rosiéristes français j'avais envie d'avoir des plants plus costauds, je me suis donc dirigée vers des fabricants de roses bio et j'ai découvert ce jeune à St Jean. Depuis quelques années je lui achète mes roses, il a des variétés anciennes et ce sont des roses qui correspondent plus au jardin que je veux. Ce sont les "Roses de Talos"
Donc cet automne je lui ai acheté une "Rosa Canina" et une "Rose de Damas", deux rosiers traditionnels qui iront très bien avec les rosiers non remontants "Léopoldiana" qui sont plantés dans cette plate-bande et devant d'autres rosiers de chez lui. Au milieu il y a des géraniums vivaces, des tulipes et autres glaïeuls et quelques marguerites. Il faut juste que je trouve des graines de lin, rouge et bleu et j'ai mon massif. Dans les années futures il sera habillé différemment mais je me donne en général 5 ans pour faire un massif, entre-temps des plantes seront mortes et d'autres par contre auront prospéré au-delà de ce qui était envisagé au départ, et du coup on réorganise.
Mon hellébore presque noire à l'ombre qui devient rouge bordeaux lorsque le soleil passe au travers et qui pousse dans la plate bande du parking.
Le rond-point
Et puis j'ai jeté un œil critique sur notre rond-point. Et bien oui, nous avons un rond-point. En fait il date du temps des chèvres et de la chèvrerie qui étaient positionné là et pour l'accès des camions de fourrage il fallait une possibilité de faire demi-tour. Il c'est donc créé un petit peu tout seul.
Avec le temps c'est devenu un "bartass" (mot occitan pour fourré rempli de ronces). Il y a quelques années nous l'avions entrepris avec ma pousse jardinière, mais je l'ai abandonné à son triste sort lors de ma dispute personnelle entre ma tête et mon dos.
La tête du rond-point
Mais au vu de la trêve instaurée entre tête et dos je me permets de remettre cette friche en état. Il y pousse deux micocouliers, un cade (l'huile est souveraine pour désinfecter les petites plaies), un filaire que ma pousse jardinière s'escrime à "tailler en nuages", des rosiers bien entendu, des lavandes (elles vont être sacrifiées), du buis bien entendu, et un seringat que je dois traiter avec ménagement car il date du jardin de ma maman. Et puis au milieu il y a un immense buisson de gratte-cul avec lequel je me fais des bocaux de confiture. Sans parler du pin, qui est arrivé tout seul, on ne l'avait même pas invité, et que ma pousse a décidé de traiter en bonsaï géant. Il a des envies de jardin Zen, mais je ne sais pas encore où est le concept de ZEN, il y a pour l'instant surtout du boulot.
L'arrière du rond-point
Comme vous voyez il y a du travail, surtout que je ne veux pas oublier ma nouvelle bordure autour de la citerne qui doit être habillée, mais bon les murets sont faits avec les cailloux que je sors de terre donc mes travaux de terrassement vont être les bienvenus.
Je me languis la semaine prochaine étant donné qu'ils ont annoncé du temps de grenouille pour cette semaine.
Le muret en pierre sèche et le local des pompes
S'il ne tombe pas des trombes d'eau je serais tout de même dehors, mais sans chanter, sinon ce n'est pas un hiver pluvieux mais des décennies de pluies que nous aurons, et assurément une montée des mers et des océans.
Enfin dans ma tête je me permettrais tout de même de fredonner "O sole Mio"....
Bonne soirée et bonne semaine jardinée à celles qui sont en congés.
Je suis ravie tout de même de ce que j'ai vu ces derniers jours, depuis vendredi après-midi surtout. Comme quoi quelques rayons de soleil font une grande différence.
Une de mes petites primevères
Les petites pousses de tomates
La serre est en gros progrès, tout a démarré, mes semis de tomate aussi, les "noires de Crimée" surtout et un mélange que j'ai reçu de mon catalogue de graines favori, on verra lesquelles sortiront.
Mais ce sont les soucis qui galopent le plus vite, il va vraiment falloir prendre une heure pour les transplanter dans des poquets. Le premier essai a été fructueux puisqu'il y a n'a qu'un qui est mort. Donc on va continuer. Ça stoppe deux ou trois jours leur développement, mais c'est nécessaire.
Mes soucis
Au jardin proprement dit j'ai nettoyé, et enfin déplacé les sauges qui vont faire la bordure des plates-bandes qui sont au niveau de notre "parking".
Et puis j'ai attaquée mon massif d'énervement, j'y ai planté deux rosiers, achetés cet automne à St Jean du Gard. Mon fournisseur de roses est un jeune fou de roses qui n'a que des roses qui sortent de l'ordinaire.
En effet, après des années a m'être servie chez les grand rosiéristes français j'avais envie d'avoir des plants plus costauds, je me suis donc dirigée vers des fabricants de roses bio et j'ai découvert ce jeune à St Jean. Depuis quelques années je lui achète mes roses, il a des variétés anciennes et ce sont des roses qui correspondent plus au jardin que je veux. Ce sont les "Roses de Talos"
Donc cet automne je lui ai acheté une "Rosa Canina" et une "Rose de Damas", deux rosiers traditionnels qui iront très bien avec les rosiers non remontants "Léopoldiana" qui sont plantés dans cette plate-bande et devant d'autres rosiers de chez lui. Au milieu il y a des géraniums vivaces, des tulipes et autres glaïeuls et quelques marguerites. Il faut juste que je trouve des graines de lin, rouge et bleu et j'ai mon massif. Dans les années futures il sera habillé différemment mais je me donne en général 5 ans pour faire un massif, entre-temps des plantes seront mortes et d'autres par contre auront prospéré au-delà de ce qui était envisagé au départ, et du coup on réorganise.
Mon hellébore presque noire à l'ombre qui devient rouge bordeaux lorsque le soleil passe au travers et qui pousse dans la plate bande du parking.
Le rond-point
Et puis j'ai jeté un œil critique sur notre rond-point. Et bien oui, nous avons un rond-point. En fait il date du temps des chèvres et de la chèvrerie qui étaient positionné là et pour l'accès des camions de fourrage il fallait une possibilité de faire demi-tour. Il c'est donc créé un petit peu tout seul.
Avec le temps c'est devenu un "bartass" (mot occitan pour fourré rempli de ronces). Il y a quelques années nous l'avions entrepris avec ma pousse jardinière, mais je l'ai abandonné à son triste sort lors de ma dispute personnelle entre ma tête et mon dos.
La tête du rond-point
Mais au vu de la trêve instaurée entre tête et dos je me permets de remettre cette friche en état. Il y pousse deux micocouliers, un cade (l'huile est souveraine pour désinfecter les petites plaies), un filaire que ma pousse jardinière s'escrime à "tailler en nuages", des rosiers bien entendu, des lavandes (elles vont être sacrifiées), du buis bien entendu, et un seringat que je dois traiter avec ménagement car il date du jardin de ma maman. Et puis au milieu il y a un immense buisson de gratte-cul avec lequel je me fais des bocaux de confiture. Sans parler du pin, qui est arrivé tout seul, on ne l'avait même pas invité, et que ma pousse a décidé de traiter en bonsaï géant. Il a des envies de jardin Zen, mais je ne sais pas encore où est le concept de ZEN, il y a pour l'instant surtout du boulot.
L'arrière du rond-point
Comme vous voyez il y a du travail, surtout que je ne veux pas oublier ma nouvelle bordure autour de la citerne qui doit être habillée, mais bon les murets sont faits avec les cailloux que je sors de terre donc mes travaux de terrassement vont être les bienvenus.
Je me languis la semaine prochaine étant donné qu'ils ont annoncé du temps de grenouille pour cette semaine.
Le muret en pierre sèche et le local des pompes
S'il ne tombe pas des trombes d'eau je serais tout de même dehors, mais sans chanter, sinon ce n'est pas un hiver pluvieux mais des décennies de pluies que nous aurons, et assurément une montée des mers et des océans.
Enfin dans ma tête je me permettrais tout de même de fredonner "O sole Mio"....
Bonne soirée et bonne semaine jardinée à celles qui sont en congés.
mardi 18 février 2014
Nouvelles de massif
Une de mes hellébores
Les nouvelles de mon massif devant la porte.
J'ai enfin pu le nettoyer et y mettre mon fumier de mouton.
Ahh ! Il a repris forme végétale. Je déteste avoir le désordre dans le jardin, surtout cette partie qui donne en fait sur la porte d'entrée, je suis une maniaque de l'ordre apparemment ( je vais pas me soigner tout de suite). Et puis quand c'est propre et rangé j'ai l'impression d'avoir remis mes neurones en ordre aussi.
Je me demande si finalement j'irais pas voir un psy-quelquechose ....
Vous allez me dire qu'on ne voit pas grand'chose, c'est le soleil de hier.
Enfin en attendant, dimanche et hier, je me suis éclaté au jardin avec les trois rayons de soleil.
Voilà un autre point de vue que j'espère meilleur. Il y a des rosiers et puis au premier plan des œillets de poète que j'essaie de tenir comme une petite bordure. Les petites choses avec de la couleur ce sont les pensées rescapées de cet hiver hyper humide.
Le pot est rempli de pousses de viorne que j'ai trouvé sous l'arbuste et à droite de l'image il y a les graminées qui tiennent compagnie au céanothe, avec au fond les iris de hollande.
Le petit muret a été fait par ma pousse jardinière il y a quelques années et je suis censée logiquement la continuer. J'espère que cette année me le permettra.
Mais le grand boulot de ce jour a été de nettoyer le massif qui lui fait face et que je veux en partie changer. C'est celui qui "m'énerf".
Il a lui aussi un muret, à refaire de façon urgentissime. Mais bon je ne sais pas pour vous, mais chez moi les journées ont 24 heures et malgré toute ma meilleure volonté je ne peux pas faire plus.
Enfin...
Donc au premier plan ce sont des hémérocalles qui végètent et qui vont se trouver au soleil dans quinze jours, je vous montrerais ma nouvelle création de massif.
Le long du mur il y a des rosiers, on ne voit rien mais les feuilles sortent et ils ont eu leur premier coiffeur de l'année.
Mais surtout au fond de la photo on voit des masses grises, ce sont des sauges, qui elles vont voyager demain jusqu'à leur nouvel emplacement. Après, il faudra que je trouve autre chose à mettre à la place, du coup les cogitations ont fonctionné à plein régime. Je pense avoir trouvé le bon compromis.
Vous en saurez plus dès que j'aurais fait mon choix définitif et été commander tout mon petit monde.
C'était tout pour aujourd'hui, j'ai juste continué un petit peu, car la sinusite montait, je suis sure que c'est à cause de la porte ouverte au boulot.
Pas grave, une bonne tisane cet après-midi, et ce soir un lait chaud et au lit, mais juste après mon message.
Le reste de l'après-midi c'est passée au coin du feu, avec un bon bouquin devant le nez, une écharpe autour du cou et surtout une tasse de tisane de thym à portée de main.
J'étais même pas bien pour ma broderie, c'est dire !
Mon fauteuil préféré et ma lampe pour broder, à demain.
P.S. Les semis de tomates font de timides apparitions.
vendredi 14 février 2014
Travaux de printemps (suite)
Donc voici la suite de mes semis de soucis.
Ils vont pouvoir être transplantés dans des petits pots. Logiquement on ne le fait pas, mais comme il est vraiment trop tôt pour les sortir( je me méfie toujours de la météo).
Je trouve d'ailleurs que Madame Grenouille raconte n'importe quoi en ce moment : Croa, croa , même elle est en avance et chante tous les soirs...
Les semis de tomate seront inspectés dès samedi et si rien ne s'est passé ils vont rentrer gentiment dans la cuisine sur le plan de travail. Jules râlera, mais juste huit à dix jours pour que le tout démarre, après retour dans la serre.
J'ai semé de la "ficoïde glaciale" du moins c'est sous ce vocable qu'on m'a donné les graines lors de notre journée de "vide jardins" d'octobre dernier.
Je suis curieuse de voir ce que ce sera comme fleur, en attendant elles pointent le bout de leur nez.
Ce matin je suis partie avec ma mammette (Vieille 2CV camionnette) chercher du migou (LE fumier le plus adapté à ma terre de jardin).
Le "migou" est le fumier des moutons et est particulièrement adapté à la terre argilo-calcaire que nous avons. C'est celui qui m'apporte juste les nutriments dont la terre a besoin, sans déséquilibrer les sols.
Il faut avouer que plus le temps passe et plus j'ai du mal a en trouver car les bergers cessent les uns après les autres d'élever des brebis.
Donc j'ai rapporté 8 grands sacs que je vais répandre ce fin de semaine dans les banquettes que j'ai retournés au motoculteur mercredi. Il y aura un autre voyage car je vais aussi en mettre dans mes plates-bandes de fleurs, elles aiment.
Donc travail de titan ce samedi, après avoir sorti les mauvaises herbes les plus visibles, on va égaliser au râteau et puis épandre un sac de migou par planche, Y compris sur la planche des fraisiers et le long de mes souches du rang de la vigne de raisin de table (je rassure tout le monde il y a 12 souches).
Et puis pour ce samedi-dimanche, s'il ne me tombe pas le ciel sur la tête, comme promis par Madame Grenouille, je vais continuer à semer dans la serre mes aubergines, mes courgettes et autre fleurs, je vous tiens au courant.
En attendant je vous joins les premières photos de mes petites fleurettes qui pointent le nez.
Mon hamamélis qui est de plus en plus beau.
Les premiers crocus, depuis j'en ai vus d'autres mais je n'ai pas eu le temps de les prendre en photo, ce dimanche peut être ?
Le tulipes, jacinthes et même les primevères sortent enfin;
Ici une de mes jardinières maison dont je suis fière, je les ai pas mal réussies cette année, malgré les pluies. Les eux jardinières devant les fenêtres ont été les fleurs qui ont le mieux réussi cet hiver, pour mes pensées dans les plates-bandes il y a eu trop d'eau, résultat pratiquement la moitié ont fondu.Les primevères commencent à fleurir seulement maintenant et les forsythia font carrément la grève du fleurissement.
Autre plante qui a bien fleurie c'est le jasmin d'hiver, à ma grande surprise.
Je les tiens comme une haie et je les taille chaque année au mois de juillet, ainsi ils ne sont pas trop envahissants. Ici ils cachent le compteur électrique, du moins en partie.
Voilà pour les dernières nouvelles de mes travaux de jardinière.
Je vais me coucher car demain c'est debout tôt si je veux réaliser mon planning.
Ils vont pouvoir être transplantés dans des petits pots. Logiquement on ne le fait pas, mais comme il est vraiment trop tôt pour les sortir( je me méfie toujours de la météo).
Je trouve d'ailleurs que Madame Grenouille raconte n'importe quoi en ce moment : Croa, croa , même elle est en avance et chante tous les soirs...
Les semis de tomate seront inspectés dès samedi et si rien ne s'est passé ils vont rentrer gentiment dans la cuisine sur le plan de travail. Jules râlera, mais juste huit à dix jours pour que le tout démarre, après retour dans la serre.
J'ai semé de la "ficoïde glaciale" du moins c'est sous ce vocable qu'on m'a donné les graines lors de notre journée de "vide jardins" d'octobre dernier.
Je suis curieuse de voir ce que ce sera comme fleur, en attendant elles pointent le bout de leur nez.
Ce matin je suis partie avec ma mammette (Vieille 2CV camionnette) chercher du migou (LE fumier le plus adapté à ma terre de jardin).
Le "migou" est le fumier des moutons et est particulièrement adapté à la terre argilo-calcaire que nous avons. C'est celui qui m'apporte juste les nutriments dont la terre a besoin, sans déséquilibrer les sols.
Il faut avouer que plus le temps passe et plus j'ai du mal a en trouver car les bergers cessent les uns après les autres d'élever des brebis.
Donc j'ai rapporté 8 grands sacs que je vais répandre ce fin de semaine dans les banquettes que j'ai retournés au motoculteur mercredi. Il y aura un autre voyage car je vais aussi en mettre dans mes plates-bandes de fleurs, elles aiment.
Donc travail de titan ce samedi, après avoir sorti les mauvaises herbes les plus visibles, on va égaliser au râteau et puis épandre un sac de migou par planche, Y compris sur la planche des fraisiers et le long de mes souches du rang de la vigne de raisin de table (je rassure tout le monde il y a 12 souches).
Et puis pour ce samedi-dimanche, s'il ne me tombe pas le ciel sur la tête, comme promis par Madame Grenouille, je vais continuer à semer dans la serre mes aubergines, mes courgettes et autre fleurs, je vous tiens au courant.
En attendant je vous joins les premières photos de mes petites fleurettes qui pointent le nez.
Mon hamamélis qui est de plus en plus beau.
Les premiers crocus, depuis j'en ai vus d'autres mais je n'ai pas eu le temps de les prendre en photo, ce dimanche peut être ?
Le tulipes, jacinthes et même les primevères sortent enfin;
Ici une de mes jardinières maison dont je suis fière, je les ai pas mal réussies cette année, malgré les pluies. Les eux jardinières devant les fenêtres ont été les fleurs qui ont le mieux réussi cet hiver, pour mes pensées dans les plates-bandes il y a eu trop d'eau, résultat pratiquement la moitié ont fondu.Les primevères commencent à fleurir seulement maintenant et les forsythia font carrément la grève du fleurissement.
Autre plante qui a bien fleurie c'est le jasmin d'hiver, à ma grande surprise.
Je les tiens comme une haie et je les taille chaque année au mois de juillet, ainsi ils ne sont pas trop envahissants. Ici ils cachent le compteur électrique, du moins en partie.
Voilà pour les dernières nouvelles de mes travaux de jardinière.
Je vais me coucher car demain c'est debout tôt si je veux réaliser mon planning.
dimanche 9 février 2014
Printemps précoce, aïe, aïe
Je suis comme beaucoup de jardiniers en ce moment :
je m'inquiète de la maturation avancée des bourgeons de mes plantes, je vous ai mis quelques photos de mes rosiers.
variété "Frédéric Mistral" de chez Meilland, les fleurs sont mangées tous les ans par les scarabées dorés qui les adorent.
Mais ce qui m'inquiète le plus ce sont ceux des pivoines arbustives et des lilas, ce n'est vraiment pas le moment.
Par contre les hellébores se portent plutôt bien.
Tout comme ceux de mon arbre totem du jardin : l'amandier devant la maison (vous aurez une photo de lui en fleurs). Là franchement je me fais un soucis monstre, d'habitude il est le dernier de toute la contrée à être en fleurs et jamais avant le mois de mars.......... il faut dire qu'on y tient car d'après un spécialiste il aurait un petit peu de 200 ans (arbre remarquable mais discret).
C'est aussi le temps de l'hamamélis, c'est un cadeau de ma pousse jardinière, qui non content de réparer le "gros pot" (2,5 m de diamètre) devant la maison a voulu y mettre une plante de terre de bruyère qui égaye un petit peu l'hiver avec ses petite fleurs jaunes, l'été le feuillage est d'un beau vert et met en valeur toutes mes annuelles que je mets à ses pieds pour s'incendier à l'automne dans les tons ocre, une plante splendide mais fragile, elle n'aime pas le trop grand froid et la grande sécheresse.
A son pied en ce moment il y a quelques pensées, mais avec toute l'humidité de ses dernières semaines, elles n'ont pas l'air d'aimer, elles n'ont jamais été aussi moches dans mes plates-bandes.
Je ne vous montre pas mes primevères, si, si elles poussent en garrigue, malgré les étés chauds, je les ai mises à l'ombre de mes cyprès. Mais pour elles aussi c'est trop d'humidité et pas assez froid. Elles ont besoin du froid pour fleurir.
Du coup le jardin qui d'habitude a malgré l'hiver des couleurs est terne et ne donne pas envie.
Si, comme je l'espère, les pluies vont s'espacer un petit peu il sera temps de désherber et il ressemblera déjà plus à quelque chose et puis tous mes bulbes pointent leur nez, dans quelques semaine vous verrez les tulipes et autre narcisses.
Un petit mot du potager
Dans le potager, ma pousse jardinière a eu pitié de sa maman et mis en place, avec des planches de coffrage des plates-bandes. Longueur : 2 planches de 3 mètres. Largeur : 1.5 m (1 planche coupée en deux), en tout il y a 8 plates-bandes.
Les planches tiennent grâce à des fers à béton fichées dans la terre. Sauf les planches étroites qui sont mobiles, pour pouvoir rentrer avec le motoculteur dans les rectangles.
Je dois avouer que c'est pratique à plus d'un titre : je me dis que désherber une planche par jour suffit, du coup mon dos me remercie et la rotation des cultures à une meilleure vision.
Cet hiver il y eût des poireaux, que nous avons terminés la semaine dernière = il faudra en planter 250 cette année, c'est un produit phare chez nous.
En automne j'ai planté mes oignons et aulx et voilà le résultat :
Ce sont les aulx qui sont le plus en avance, mais à côté on devine les rangs des oignons.
Il me reste aussi des côtes de blette et sous le tunnel des céleris branches.
Enfin, avant d'aller déguster ma choucroute maison qui me donne des crampes d'estomac depuis ce matin.
Les nouvelles de mes semis de soucis et tomates que j'ai mis pour la première fois dans la serre.
Alors, pour prévenir des trop grosses catastrophes je leur ai posé dessus un film de protection. Si jamais dans la semaine cela ne suffisait pas pour que les semis de tomates lèvent je mettrais sur les barquettes de semis des voiles de forçage plus importants.
Comme vous le voyez, ça bouge du côté des soucis.
je m'inquiète de la maturation avancée des bourgeons de mes plantes, je vous ai mis quelques photos de mes rosiers.
variété "Frédéric Mistral" de chez Meilland, les fleurs sont mangées tous les ans par les scarabées dorés qui les adorent.
Mais ce qui m'inquiète le plus ce sont ceux des pivoines arbustives et des lilas, ce n'est vraiment pas le moment.
Par contre les hellébores se portent plutôt bien.
Tout comme ceux de mon arbre totem du jardin : l'amandier devant la maison (vous aurez une photo de lui en fleurs). Là franchement je me fais un soucis monstre, d'habitude il est le dernier de toute la contrée à être en fleurs et jamais avant le mois de mars.......... il faut dire qu'on y tient car d'après un spécialiste il aurait un petit peu de 200 ans (arbre remarquable mais discret).
C'est aussi le temps de l'hamamélis, c'est un cadeau de ma pousse jardinière, qui non content de réparer le "gros pot" (2,5 m de diamètre) devant la maison a voulu y mettre une plante de terre de bruyère qui égaye un petit peu l'hiver avec ses petite fleurs jaunes, l'été le feuillage est d'un beau vert et met en valeur toutes mes annuelles que je mets à ses pieds pour s'incendier à l'automne dans les tons ocre, une plante splendide mais fragile, elle n'aime pas le trop grand froid et la grande sécheresse.
A son pied en ce moment il y a quelques pensées, mais avec toute l'humidité de ses dernières semaines, elles n'ont pas l'air d'aimer, elles n'ont jamais été aussi moches dans mes plates-bandes.
Je ne vous montre pas mes primevères, si, si elles poussent en garrigue, malgré les étés chauds, je les ai mises à l'ombre de mes cyprès. Mais pour elles aussi c'est trop d'humidité et pas assez froid. Elles ont besoin du froid pour fleurir.
Du coup le jardin qui d'habitude a malgré l'hiver des couleurs est terne et ne donne pas envie.
Si, comme je l'espère, les pluies vont s'espacer un petit peu il sera temps de désherber et il ressemblera déjà plus à quelque chose et puis tous mes bulbes pointent leur nez, dans quelques semaine vous verrez les tulipes et autre narcisses.
Un petit mot du potager
Dans le potager, ma pousse jardinière a eu pitié de sa maman et mis en place, avec des planches de coffrage des plates-bandes. Longueur : 2 planches de 3 mètres. Largeur : 1.5 m (1 planche coupée en deux), en tout il y a 8 plates-bandes.
Les planches tiennent grâce à des fers à béton fichées dans la terre. Sauf les planches étroites qui sont mobiles, pour pouvoir rentrer avec le motoculteur dans les rectangles.
Je dois avouer que c'est pratique à plus d'un titre : je me dis que désherber une planche par jour suffit, du coup mon dos me remercie et la rotation des cultures à une meilleure vision.
Cet hiver il y eût des poireaux, que nous avons terminés la semaine dernière = il faudra en planter 250 cette année, c'est un produit phare chez nous.
En automne j'ai planté mes oignons et aulx et voilà le résultat :
Ce sont les aulx qui sont le plus en avance, mais à côté on devine les rangs des oignons.
Il me reste aussi des côtes de blette et sous le tunnel des céleris branches.
Enfin, avant d'aller déguster ma choucroute maison qui me donne des crampes d'estomac depuis ce matin.
Les nouvelles de mes semis de soucis et tomates que j'ai mis pour la première fois dans la serre.
Alors, pour prévenir des trop grosses catastrophes je leur ai posé dessus un film de protection. Si jamais dans la semaine cela ne suffisait pas pour que les semis de tomates lèvent je mettrais sur les barquettes de semis des voiles de forçage plus importants.
Comme vous le voyez, ça bouge du côté des soucis.
La citerne
Il faut que je vous explique le pourquoi de cette citerne.
Alors, voilà :
Il était une fois des "fadas" de l'est qui ont acheté un très vieux Mas (on prononce toutes les lettres svp). Le mot Mas vient du latin : mensa qui signifie maison, foyer, domicile et est l'équivalent pour le mot ferme au nord de la Loire.
Ils ont donc acheté cette vielle bâtisse de 1000 ans pour s'installer avec un troupeau de chèvres, des lapins, des enfants, des chiens, des chats, des poules etc (nombre décroissant).
Mais comme le village est loin et que toutes les commodités avaient l'âge des murs il a fallu être inventif.
Pour l’électricité il y eût un groupe électrogène, des lampes de poches et des lampes de pétrole qui retrouvent encore aujourd'hui occasionnellement leur fonction lors des orages. Aujourd'hui par contre on a le fil comme tout le monde.
Et pour l'eau, eh bien, c'est comme chez les romains et chez les anciens : on creuse une citerne et on vit dessus en espérant que ceux du haut n'attendent pas trop longtemps entre deux averses. On installa une pompe qui expédia l'eau sous le toit dans une deuxième citerne et grâce à un surpresseur on eût la pression au robinet, assez pour une machine à laver et des douches ainsi que pour le petit coin, mais pas pour boire. On ne doit pas boire l'eau de pluie trop longtemps elle "nettoie" les reins car elle ne contient aucun sel minéral.
Je vous passe les détails, ils seront pour mon autobiographie, qui mérite le nom de roman parfois...
Le temps passa et la citerne aussi. Il a fallu la refaire il y a quelques années et avec Jules on l'a modernisée.
Tout d'abord elle a rétrécie, car l'eau du ciel n'est plus notre seul approvisionnement, nous avons un forage, donc nous sommes plus autonomes.
Du coup le grosse citerne, 66 m3, me sert à arroser mes plantes et mon potager lors de la saison chaude.
Les pluies du midi mettent en général, 4 jours à la remplir, sauf si le ciel nous donne un phénomène Cévenol, du coup en 8 heures de pluie non-stop elle est pleine .
Avec Jules nous avons fait installer sous la maisonnette que vous voyez notre citerne de la maison, 3m3, le relais du forage ainsi que tout le système de pompage entre le forage, et le transfert de l'eau vers l'habitation et le surpresseur qui permet d'avoir la pression au robinet : une mini station d'eau.
L'eau est rendue propre à la consommation grâce à un filtre UV : c'est un tube dans lequel se trouve une ampoule à Ultraviolets et par lequel passe l'eau avant de couler au robinet, cette lumière tue toutes les petites bactéries et autres virus sans donner le goût de chlore à notre eau, il préserve par contre les sels minéraux, donc elle est potable.
Bien entendu nous sommes aussi autonomes pour l'assainissement,avec un bac à graisse, une fosse sceptique, ainsi qu'une zone de décantation.
Voici comment l'eau arrive dans la citerne. Elle est acheminée par les chenaux.
Le dessus de la citerne est couvert par une dalle en béton et les ouvertures d'arrivée d'eau et de surveillance sont en train d'être fermés pour des questions de sécurité. Ensuite il y aura de la terre dessus et un petit peu de chiendent en guise d'herbe, il supporte la sécheresse et repart de plus belle dès les premières gouttes.
A l'époque nous avons maudit nos parents car les consignes de "non gaspillages" de l'eau étaient strictes, mais quand je vois et j'entends les préconisations de certains, ils me font rire car j'ai quelques longueurs d'avance sur eux par l'optimisation de cette ressource.
Bonne douche à tous.
Alors, voilà :
Il était une fois des "fadas" de l'est qui ont acheté un très vieux Mas (on prononce toutes les lettres svp). Le mot Mas vient du latin : mensa qui signifie maison, foyer, domicile et est l'équivalent pour le mot ferme au nord de la Loire.
Ils ont donc acheté cette vielle bâtisse de 1000 ans pour s'installer avec un troupeau de chèvres, des lapins, des enfants, des chiens, des chats, des poules etc (nombre décroissant).
Mais comme le village est loin et que toutes les commodités avaient l'âge des murs il a fallu être inventif.
Pour l’électricité il y eût un groupe électrogène, des lampes de poches et des lampes de pétrole qui retrouvent encore aujourd'hui occasionnellement leur fonction lors des orages. Aujourd'hui par contre on a le fil comme tout le monde.
Et pour l'eau, eh bien, c'est comme chez les romains et chez les anciens : on creuse une citerne et on vit dessus en espérant que ceux du haut n'attendent pas trop longtemps entre deux averses. On installa une pompe qui expédia l'eau sous le toit dans une deuxième citerne et grâce à un surpresseur on eût la pression au robinet, assez pour une machine à laver et des douches ainsi que pour le petit coin, mais pas pour boire. On ne doit pas boire l'eau de pluie trop longtemps elle "nettoie" les reins car elle ne contient aucun sel minéral.
Je vous passe les détails, ils seront pour mon autobiographie, qui mérite le nom de roman parfois...
Le temps passa et la citerne aussi. Il a fallu la refaire il y a quelques années et avec Jules on l'a modernisée.
Tout d'abord elle a rétrécie, car l'eau du ciel n'est plus notre seul approvisionnement, nous avons un forage, donc nous sommes plus autonomes.
Du coup le grosse citerne, 66 m3, me sert à arroser mes plantes et mon potager lors de la saison chaude.
Les pluies du midi mettent en général, 4 jours à la remplir, sauf si le ciel nous donne un phénomène Cévenol, du coup en 8 heures de pluie non-stop elle est pleine .
Avec Jules nous avons fait installer sous la maisonnette que vous voyez notre citerne de la maison, 3m3, le relais du forage ainsi que tout le système de pompage entre le forage, et le transfert de l'eau vers l'habitation et le surpresseur qui permet d'avoir la pression au robinet : une mini station d'eau.
L'eau est rendue propre à la consommation grâce à un filtre UV : c'est un tube dans lequel se trouve une ampoule à Ultraviolets et par lequel passe l'eau avant de couler au robinet, cette lumière tue toutes les petites bactéries et autres virus sans donner le goût de chlore à notre eau, il préserve par contre les sels minéraux, donc elle est potable.
Bien entendu nous sommes aussi autonomes pour l'assainissement,avec un bac à graisse, une fosse sceptique, ainsi qu'une zone de décantation.
Voici comment l'eau arrive dans la citerne. Elle est acheminée par les chenaux.
Le dessus de la citerne est couvert par une dalle en béton et les ouvertures d'arrivée d'eau et de surveillance sont en train d'être fermés pour des questions de sécurité. Ensuite il y aura de la terre dessus et un petit peu de chiendent en guise d'herbe, il supporte la sécheresse et repart de plus belle dès les premières gouttes.
A l'époque nous avons maudit nos parents car les consignes de "non gaspillages" de l'eau étaient strictes, mais quand je vois et j'entends les préconisations de certains, ils me font rire car j'ai quelques longueurs d'avance sur eux par l'optimisation de cette ressource.
Bonne douche à tous.
mardi 4 février 2014
Chose promise
Chose due
Lors de mon escapade à Créativa je vous avais dit que ma pousse féminine avait flashé sur des tissus.
Dont un avec des petits éventails.
Le deal c'était de faire une trousse de maquillage avec ce tissu, cela faisait plusieurs mois qu'elle regardait partout pour en trouver une. Mais comme j'ai une pousse compliquée, complexe et pinailleuse, elle ne trouvait jamais ce qu'elle voulait ....
Et bien entendu on met maman a contribution.
Mais bon elle n'a pas eu besoin d'exercer des pressions très fortes, soyons honnête.
Donc voici la réalisation de cette trousse. Je l'ai doublée avec un tissu uni pour plus de tenue et plus de solidité, par contre je n'ai pas mis de ouatine, le maquillage est salissant, et en machine ce n'est pas toujours une réussite : ça gondole.
Temps de travail : 2 heures avec les boutonnières à la main (celles de ma machine ne sont pas franchement à mon goût).
Les boutons viennent d'une de mes boîtes à boutons, récup !
Ah,la dimension : A5 + ou -
tissu avec les éventails
Comme vous pouvez le voir, j'ai découpé deux morceaux de tissus, celui de devant en A5 et celui du dos un petit peu plus grand, il a le rabat.
Pour faire la profondeur j'ai coupé une bande et je l'ai cousue entre les deux morceaux, comme pour une trousse de toilette.
Et la voilà terminée et fermée avec les deux boutons en nacre. Grâce à la doublure il tient debout tout seul.
Avec un reste de tissu je lui ai cousue en même temps une petite pochette pour le sac à main, c'est pour cacher les protège slips et autres tampax, il est doublé lui aussi et se ferme par des boutons pressions.
Il reste encore du tissu, ce sera pas perdu.
A bientôt pour des images avec le tissus des carpes.
Bonne soirée à vous toutes.
Lors de mon escapade à Créativa je vous avais dit que ma pousse féminine avait flashé sur des tissus.
Dont un avec des petits éventails.
Le deal c'était de faire une trousse de maquillage avec ce tissu, cela faisait plusieurs mois qu'elle regardait partout pour en trouver une. Mais comme j'ai une pousse compliquée, complexe et pinailleuse, elle ne trouvait jamais ce qu'elle voulait ....
Et bien entendu on met maman a contribution.
Mais bon elle n'a pas eu besoin d'exercer des pressions très fortes, soyons honnête.
Donc voici la réalisation de cette trousse. Je l'ai doublée avec un tissu uni pour plus de tenue et plus de solidité, par contre je n'ai pas mis de ouatine, le maquillage est salissant, et en machine ce n'est pas toujours une réussite : ça gondole.
Temps de travail : 2 heures avec les boutonnières à la main (celles de ma machine ne sont pas franchement à mon goût).
Les boutons viennent d'une de mes boîtes à boutons, récup !
Ah,la dimension : A5 + ou -
tissu avec les éventails
Comme vous pouvez le voir, j'ai découpé deux morceaux de tissus, celui de devant en A5 et celui du dos un petit peu plus grand, il a le rabat.
Pour faire la profondeur j'ai coupé une bande et je l'ai cousue entre les deux morceaux, comme pour une trousse de toilette.
Et la voilà terminée et fermée avec les deux boutons en nacre. Grâce à la doublure il tient debout tout seul.
Avec un reste de tissu je lui ai cousue en même temps une petite pochette pour le sac à main, c'est pour cacher les protège slips et autres tampax, il est doublé lui aussi et se ferme par des boutons pressions.
Il reste encore du tissu, ce sera pas perdu.
A bientôt pour des images avec le tissus des carpes.
Bonne soirée à vous toutes.
lundi 3 février 2014
ET C'EST PARTI !!!!!!!!
ET C'EST PARTI !!!!!!!!
Quoi, vous allez me dire ?
Et bien, mon année de jardinière, pardi !
Je me suis permise de semer mes premières caissettes comme vous pouvez le voir.
Pour l'instant j'ai fait soft, c'est-à-dire, des soucis, quelques œillets d'inde des amarantes et puis mes tomates chéries. Cette année ce sont les variétés Arlésienne (en hommage à mes deux pousses qui sont née en Arles), des tomates cerises pour les apéros de copines, et un mélange que mon grainetier préféré ( Kokopelli pour ne pas le nommer) m'a offert.
Je me suis lancée cette année à les semer dans la serre, Jules n'aime pas trop que j'investisse le plan de travail/table de cuisinerécup qui tient le haut du pavé dans notre cuisine. Il faut avouer que côté hygiène il y a mieux, mais côté température, non !
Pour faire plaisir à mon homme et lui montrer que réclamer des planches sur cadres fabrication maison pour mes serres n'est pas un caprice, mais utile à 100 % et que son cadeau de Noël est apprécié à sa juste valeur, je me suis donc décidée à les semer directement là-bas.
Je me réserve tout de même des petite laines sous forme de voiles de forçage pour qu'elles germent.
Bon alors quelques explications :
- les caissettes en blanc que vous voyez, ont emballé des viandes, c'est de la bonne vieille récup . Avec un tournevis j'ai fait des trous dans le fond, un petit peu de terre mélangée avec des briques de coco (achetés dans une jardinerie) à 50-50, pour plus de légèreté et puis semer.
Mes caissettes je les utilise d'une année sur l'autre après les avoir nettoyées à la Javel pour désinfection, bien entendu elles sont rincées longuement, mais ainsi je me garde des contenants propres et pas chers.
Bien entendu j'irais voir tous les jours si tout va bien car certaines souris des champs prennent mes semis pour des garde-mangers.
et ce n'est que le début, en général le haut est complétement plein de caissettes et puis lors des transplantations elles sont remplacées par d'autres et ainsi de suite...
mais ceci c'est pour la suite.
Quoi, vous allez me dire ?
Et bien, mon année de jardinière, pardi !
Je me suis permise de semer mes premières caissettes comme vous pouvez le voir.
Pour l'instant j'ai fait soft, c'est-à-dire, des soucis, quelques œillets d'inde des amarantes et puis mes tomates chéries. Cette année ce sont les variétés Arlésienne (en hommage à mes deux pousses qui sont née en Arles), des tomates cerises pour les apéros de copines, et un mélange que mon grainetier préféré ( Kokopelli pour ne pas le nommer) m'a offert.
Je me suis lancée cette année à les semer dans la serre, Jules n'aime pas trop que j'investisse le plan de travail/table de cuisinerécup qui tient le haut du pavé dans notre cuisine. Il faut avouer que côté hygiène il y a mieux, mais côté température, non !
Pour faire plaisir à mon homme et lui montrer que réclamer des planches sur cadres fabrication maison pour mes serres n'est pas un caprice, mais utile à 100 % et que son cadeau de Noël est apprécié à sa juste valeur, je me suis donc décidée à les semer directement là-bas.
Je me réserve tout de même des petite laines sous forme de voiles de forçage pour qu'elles germent.
Bon alors quelques explications :
- les caissettes en blanc que vous voyez, ont emballé des viandes, c'est de la bonne vieille récup . Avec un tournevis j'ai fait des trous dans le fond, un petit peu de terre mélangée avec des briques de coco (achetés dans une jardinerie) à 50-50, pour plus de légèreté et puis semer.
Mes caissettes je les utilise d'une année sur l'autre après les avoir nettoyées à la Javel pour désinfection, bien entendu elles sont rincées longuement, mais ainsi je me garde des contenants propres et pas chers.
Bien entendu j'irais voir tous les jours si tout va bien car certaines souris des champs prennent mes semis pour des garde-mangers.
et ce n'est que le début, en général le haut est complétement plein de caissettes et puis lors des transplantations elles sont remplacées par d'autres et ainsi de suite...
mais ceci c'est pour la suite.
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